Une initiative du Centre culturel du Brabant wallon
Né le 11 novembre 1975 à Anderlecht, Maurizio Iacolina entreprend des études à l'INRACI en section photo.
Il a tout d’abord travaillé dans un magasin de photo à Uccle. Il y réalise très peu de clichés, si ce n’est des photos d’identité.
Il redécouvre pleinement la photo lorsqu’il commence à travailler dans un magasin de hifi haut de gamme. L'usage des appareils argentiques et la prise de photos numériques pour alimenter le blog du magasin lui font reprendre goût à l’univers de la photo.
Il apprécie particulièrement les appareils photo argentiques (petits compacts manuels, semi-manuels, reflex). Chacun ayant des fonctionnalités différentes, il s’amuse en jouant sur les multiples rendus et prises de vue.
« Les petits compacts manuels ou semi-manuels ne permettent pas de faire des gros plans par exemple, alors que d'autres comme les reflex permettent une maîtrise complète de ta prise de vue (…) Chaque appareil est adapté à des circonstances, des contextes différents et j'adore utiliser ces appareils, bien plus que les numériques ». — Maurizio Iacolina
Les films sont ensuite scannés par son photographe. Afin de mettre en lumière toutes les nuances et ambiances propres à ses clichés, il peut éventuellement faire des retouches ou utiliser des filtres, avant de les rendre disponibles sur Instagram.
Régulièrement, il apprécie arpenter les rues de Bruxelles ou d'ailleurs avec un appareil photo à la main et saisir des instants suspendus dans le temps.
« Je n'ai aucune prétention artistique. Ce sont juste des moments figés que je couche sur un support (écran et parfois papier photo). Le but de ces images c'est juste de donner un côté esthétique au quotidien que tout le monde traverse sans regarder exactement ce qu'il s'y passe ». — Maurizio Iacolina
